Non, ce n'est pas interdit en France. Ĺe test ADN ce nest pas de la magie. Faut savoir ce quon cherche, comme par exemple ici comparer ton ADN à un autre individu pour déterminer le degré de parenté.
Soit...
si tu croises un "viking" je t'invite a lui faire un frotti salivaire.
Origines vikings
Modérateurs : moonlight, Kristalina, laetitia, canadien, kari, Equipe Administration, Francois
Re: Origines vikings
Nn mais ces des test genalogique je crois que ca s appelle pas comme ca mais en faite ils ont une banque de donné avec les origines et tous ca et compare avec les haplogroupe....
Re: Origines vikings
Bon courage dans tes recherches 
Re: Origines vikings
Il y a un test plus simple. Si tu peux lever un filet de cabillaud avec une double hache, tu as du sang viking. 
Re: Origines vikings
OK, tu n'arranges en rien de ce que j'ai pu voir dans ta chère Bretagne.
Avec une attitude pareille, tu lui fait plus de mal que l'inverse.
Desolé Laetitia mais tu devrais aller le fesser cul nu ce petit Breton bien arrogant. C'est a cause de ce genre de petit idiot que ton beau pays est mal vu ailleurs.
Sache que si ta chère Bretagne est devenu francaise c'est avant tout les dirigeant Breton qui ont vendu ton cher pays.
Ton communitarisme est bien dans l'air du temps et je doute tres serieusement qu'il t'aidera a vivre mieux.
Peu importe de toute facon.
On va faire un petit cours d'histoire rapide pour ta gouverne. Tu es tres fier de tes origines Bretonne, donc celte si on remonte loin.
Hors les vikings dont tu parles sont Germain. Et les Germains sont, avec les Romains, a l'origine de la disparition de la culture celte en Europe.
Invasion francs en Gaule, Invasion Saxonne, Angles, Scandinaves sur le territoire des Grands Bretons.
Cherches tu donc a savoir si dans ton sang coule le sang des bourreaux de ton Peuple ???
Arrete le chouchen et va t'aerer la tete, ca t'aidera peut etre a reflechir un peu plus loin que le bout de ta Bretagne
Avec une attitude pareille, tu lui fait plus de mal que l'inverse.
Desolé Laetitia mais tu devrais aller le fesser cul nu ce petit Breton bien arrogant. C'est a cause de ce genre de petit idiot que ton beau pays est mal vu ailleurs.
Sache que si ta chère Bretagne est devenu francaise c'est avant tout les dirigeant Breton qui ont vendu ton cher pays.
Ton communitarisme est bien dans l'air du temps et je doute tres serieusement qu'il t'aidera a vivre mieux.
Peu importe de toute facon.
On va faire un petit cours d'histoire rapide pour ta gouverne. Tu es tres fier de tes origines Bretonne, donc celte si on remonte loin.
Hors les vikings dont tu parles sont Germain. Et les Germains sont, avec les Romains, a l'origine de la disparition de la culture celte en Europe.
Invasion francs en Gaule, Invasion Saxonne, Angles, Scandinaves sur le territoire des Grands Bretons.
Cherches tu donc a savoir si dans ton sang coule le sang des bourreaux de ton Peuple ???
Arrete le chouchen et va t'aerer la tete, ca t'aidera peut etre a reflechir un peu plus loin que le bout de ta Bretagne
Re: Origines vikings
D abord si je demande si c possible que les bretons ont des origines viking c est parce que j ai lu comme je l ai deja dit que les bretons avaient plus en commun dans le sang avec eux qu avec les normands donc relis avant d accuser stp...ensuite pour toi je lui fais plus de mal que de bien mais suis je donc le seul a dire merde au francais nnon je crois pas car si tu suivais un minimum l actualité t aurai ptet entendu les bonnets rouges;) donc suit l actualité avant de l ouvrir;) ou alors les manifestations a nantes et en bretagne pour rattacher les 5 département ah mais oui j avais oublier les français ont TOUJOURS raison pour toi même si ct petain le pire f.. APPAREMENT la Bretagne est mal vu ailleurs excuse moi mais les gens ils disent oui moi j ai une tante bretonnne ou autre parenté que oui moi j ai une tante picarde ou autre; ) c juste que jamais les francais ne vaudront les bretons ah iii dernière chose les germains (Alains,...) ne sont jamais installer en Bretagne don ni tué ni voler ni violé par contre c vrai que certain se sont installer et sans mal donc va revoir aussi ton hsitoire et apres tu reviendra redonner des lecons mdrrr
Re: Origines vikings
Depuis le début du IX, siècle, les Vikings (ou Normands) font déjà des incursions sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique, mais ces incursions ne tardent pas à se changer en véritables expéditions militaires. L'année 843 est un vrai désastre pour la ville de Nantes. Le jour de la Saint Jean (24 juin 843) toute la population se trouve rassemblée à l'église pour l'office lorsque les Vikings y font irruption (9). Les habitants sont massacrés, y compris l'évêque qui préside aux cérémonies ce jour-là. Les habitations sont pillées et incendiées... Et lorsque les drakkars vikings, chargés de butin, disparaissent dans les brumes de la Loire à la tombée de la nuit, Nantes n'est plus que ruines fumantes.
Dix ans plus tard, en 853, le chef viking Gottfried remonte la Vilaine avec le secret espoir de mettre à sac la riche abbaye de Redon. Que peuvent faire les moines face à ce danger, sinon implorer la protection de Dieu ? C'est ce qu'ils font. Et ils sont entendus. Alors que les drakkars vikings sont poussés vers Redon par la marée montante, un violent orage, accompagné de grêle, de tonnerre et de véritables trombes d'eau, s'abat sur eux. Gottfried et ses hommes sont saisis de frayeur, et, croyant voir dans ces manifestations un signe du ciel, comblent de présents l'abbaye de Redon au lieu de la piller.
Mais ce n'est que partie remise.
Au printemps de l'année 869, d'autres Vikings, ceux d'Hastings remontent à leur tour la Vilaine à bord de leurs drakkars et viennent piller l'abbaye. Cette fois-ci il n'y a pas d'orage miraculeux pour sauver la communauté religieuse. Cependant, à leur arrivée, les Vikings ne trouvent que des murs vidés de leur contenu. Les moines, renseignés sur les intentions de ces païens, avaient quitté les lieux depuis quelque temps déjà en emportant leurs biens les plus précieux, leurs reliques en particulier. Ils s'étaient réfugiés à Plélan (en forêt de Brécilien) dans un petit monastère que le roi breton Salomon avait mis à leur disposition (10).
Les Vikings continuent à écumer la région. Finalement un accord intervient le 25 mai 869 à Avessac (près de Redon) entre Salomon, le roi des Bretons, et Hasting, le chef des Vikings - "cinq cents vaches sont données à Hasting qui peut s'installer en Bretagne aux côtés des Bretons. En retour, Hasting doit cesser ses pillages"(11).
Mais cette vie sédentaire ne convient pas à tous ces infatigables coureurs des mers. Hasting et une partie de ses hommes quittent bientôt le pays et s'en vont porter leurs ravages ailleurs.
A cette date, le port de Guipry ne connaît sans doute pas encore les drakkars vikings, mais les luttes, qui vont opposer les prétendants à la succession du roi Salomon, vont lui en donner l'occasion. Gurwant, comte de Rennes, et Pascweten, comte de Vannes, se disputent, en effet, le trône de celui qu'ils viennent de faire assassiner, tandis que les Vikings profitent de ces discordes bretonnes "pour incendier les cités, les châteaux, les églises, les monastères, les maisons, pour ravager le pays et en faire un désert" (12).
En 875, Pascweten recrute une forte armée - plus de trente mille hommes, dit-on - dans laquelle il enrôle des Vikings de la bande d'Hastings et marche sur Rennes, la capitale de Gurwant.
Bien que très inférieurs en nombre, les soldats de ce dernier, galvanisés par le courage de leur chef, bousculent l'armée de Pascweten aux portes de la ville et lui infligent des pertes importantes. Serrés de près, quelques groupes vikings se réfugient dans l'abbaye Saint-Melaine et s'y barricadent suivant leur tactique habituelle. Puis, au cours de la nuit, ils s'en échappent et regagnent leurs barques au mouillage dans la Vilaine, à quelque distance de la ville (13). Ils emportent avec eux le butin qu'ils ont amassé, entre autres les cloches de l'église, si l'on en croit la légende racontée encore de nos jours dans la région de Massérac.
Le lac de Murin abriterait l'épave d'un drakkar qui aurait disparu dans ses eaux lors du retour de cette expédition. Certains soirs on entend le tintement d'une cloche au fond du lac. Cette cloche, dérobée à l'abbaye Saint Melaine de Rennes, aurait sombré en même temps que le drakkar surchargé qui la transportait. Les Vikings ont donc bien remonté et descendu la Vilaine lors du raid de Pascweten contre la capitale de Gurwant. Les habitants du Port de GuipryMessac ont peut-être même eu à en souffrir.
Pendant plus d'un siècle ces invasions successives des Vikings déferlent sur la Bretagne, dont les responsables réagissent selon les circonstances. Tantôt ils composent avec leurs assaillants, tantôt ils les repoussent. Seul, Alain le Grand réussit à imposer sa loi aux envahisseurs, mais à sa mort, en 907, les querelles nées autour de sa succession permettent aux Vikings de se ressaisir. Ils vont dominer à leur tour le pays pendant tout le premier tiers du XI siècle, obligeant même les élites bretonnes (comtes, machtiems, moines) à quitter le pays. Il faut attendre le retour d'Alain Barbetorte en 936 pour les contrer et les faire abandonner définitivement le pays breton.
Cependant ils n'ont pas sillonné notre pays pendant aussi longtemps sans y laisser leurs empreintes. Il ne s'agit pas ici de parler de la Tour d'Hasting de Tréguier, ou de la fondation de la Roche-Bernard ou de Châteaugiron, mais la référence à la toponymie locale nous incite à penser que certains hameaux de la région ont été, semble-t-il, des fiefs scandinaves. Ainsi, à Saint-Ganton, nous trouvons le village de la"Houle", un nom norrois par excellence (14). Quant au village de la Touraudais, dans la même commune, le dieu Thor, dieu favori des Vikings, lui a peut-être donné son identité (15). A Saint-Just, autre commune de notre canton actuel, le village de la Hougrais (de "Haugr", tertre) a sans doute accueilli des Vikings qui lui ont attribué un nom rappelant leur pays d'origine (16).
A Guipry, que représente "Trécesson" (en breton "hameau des Saxons"), ce village aujourd'hui disparu, situé à l'extrême nord de la commune, en limite de Guignen? Les Bretons ont souvent confondu Vikings et Saxons (17 ). Faut-il en conclure que ce Trécesson était un fief viking? Le pas est aisé à franchir. Mais ce n'est là qu'une hypothèse plausible.
En juin 1101, une grandiose cérémonie religieuse se déroule à l'église Saint-Sauveur de Lohéac. Gauthier, seigneur du lieu, dépose dans ce sanctuaire un morceau de la vraie croix du Christ et un fragment de son tombeau. Ces pieuses reliques ont été rapportées des Croisades par Simon de Ludron (Lieuron ?), le fidèle écuyer de son frère Riou, à qui ce dernier avait confié ce précieux fardeau avant de mourir. De nombreuses personnalités sont présentes ce jour-là, dont Judicaël, évêque d'Aleth (Saint-Malo), Justin, abbé de Redon, et aussi Gonnor, veuve de Riou, et son fils Geffroy (18).
Gonnor ? Comme le laisse supposer ce nom, Riou a épousé une femme d'origine scandinave (19). Il est sans doute allé la chercher en dehors de la Bretagne. Mais peut-être aussi a-t-il obtenu la main de la fille d'un seigneur de son entourage, ce qui accréditerait l'idée que d'anciens Vikings ont fait souche dans notre région.
Il est vrai que les premiers Vikings étaient des barbares. Ils ne pensaient qu'à tuer, voler et piller. Rapidement cependant, ils ont compris qu'il était bien agréable de vivre dans notre beau pays. Et ils ont cherché à s'y établir par tous les moyens. Sans doute aussi n'ont-ils pas connu en Bretagne la même facilité d'installation qu'en Normandie. Ici l'empreinte celte y était trop marquée ; ils ont été obligés de s'en accommoder. Locmaria, île de Groix, été 1906 : une mystérieuse découverte
Le Port-musée se passionne pour une découverte archéologique exceptionnelle et méconnue.
En 1906, les archéologues Paul Du Chatellier et Louis Le Pontois mettent au jour sur l’île de Groix une bien mystérieuse sépulture. Sous un grand tumulus, leurs fouilles révèlent les traces d’une grande barque scandinave datant du Xe siècle, incinérée avec la dépouille d’un chef Viking entouré de nombreux armes et atours. Cette découverte, dont l’écho a largement traversé les frontières dès 1906 mais rarement dépassé les cercles initiés, continue aujourd’hui de susciter études et débats passionnés.
C’est ce contexte archéologique exceptionnel que le Port-musée présente cet été. S’appuyant sur de nombreuses archives et le confrontant à d’autres sites du Ponant découverts récemment ou non, il invite le visiteur dans le monde fascinant de la recherche et du Xe siècle.
Un précieux témoignage de la présence Viking en Bretagne
Pourquoi et comment ce bateau et son passager pour l’au-delà furent-ils incinérés puis inhumés sur l’île de Groix au Xe siècle ? Au fil de sa déambulation, le visiteur décèle les indices. De nombreux objets : épées, boucles, outils trouvés sur le site de Groix et le précieux évangéliaire de Landévennec rédigé par les moines en 909 sont autant de pièces à conviction de la présence Viking en Bretagne. Au cœur de l’exposition, le bateau Ragna, réplique d’une barque scandinave médiévale propose une reconstitution du brasier funéraire originel et introduit la question de l’influence des Scandinaves sur nos traditions maritimes.
Le bateau, véhicule des âmes pour l’au-delà
Se référant à un rite viking bien connu, la tombe de Groix est aussi le prétexte à déambuler dans l’imaginaire et les croyances des peuples marins. À travers la littérature, les arts visuels ou les objets ethnographiques, le visiteur est invité à naviguer dans le monde aérien ou souterrain de l’au-delà des civilisations égyptienne, océanienne ou européenne. Vaste champ universel où se retrouve un trait commun aux peuples navigateurs : la barque de l’au-delà.
Un projet collectif ambitieux et créatif
Afin de faire ressurgir l’histoire oubliée de la tombe viking de l’île de Groix, le Port-musée s’est entouré d’éminents spécialistes du haut Moyen-Âge, et a su mobiliser des collections exceptionnelles prêtées par les établissements prestigieux que sont le musée du quai Branly, le musée du Louvre et le musée d’archéologie nationale de Saint Germain en Laye. Ces objets sont autant de trésors présentés dans une scénographie originale inspirée de l’architecture de l’ ancienne abbaye de Landévennec et mise en ambiance par une création sonore et visuelle originale de Paul Menet.
Je me permet de faire un double post...excuaqer moi
Dix ans plus tard, en 853, le chef viking Gottfried remonte la Vilaine avec le secret espoir de mettre à sac la riche abbaye de Redon. Que peuvent faire les moines face à ce danger, sinon implorer la protection de Dieu ? C'est ce qu'ils font. Et ils sont entendus. Alors que les drakkars vikings sont poussés vers Redon par la marée montante, un violent orage, accompagné de grêle, de tonnerre et de véritables trombes d'eau, s'abat sur eux. Gottfried et ses hommes sont saisis de frayeur, et, croyant voir dans ces manifestations un signe du ciel, comblent de présents l'abbaye de Redon au lieu de la piller.
Mais ce n'est que partie remise.
Au printemps de l'année 869, d'autres Vikings, ceux d'Hastings remontent à leur tour la Vilaine à bord de leurs drakkars et viennent piller l'abbaye. Cette fois-ci il n'y a pas d'orage miraculeux pour sauver la communauté religieuse. Cependant, à leur arrivée, les Vikings ne trouvent que des murs vidés de leur contenu. Les moines, renseignés sur les intentions de ces païens, avaient quitté les lieux depuis quelque temps déjà en emportant leurs biens les plus précieux, leurs reliques en particulier. Ils s'étaient réfugiés à Plélan (en forêt de Brécilien) dans un petit monastère que le roi breton Salomon avait mis à leur disposition (10).
Les Vikings continuent à écumer la région. Finalement un accord intervient le 25 mai 869 à Avessac (près de Redon) entre Salomon, le roi des Bretons, et Hasting, le chef des Vikings - "cinq cents vaches sont données à Hasting qui peut s'installer en Bretagne aux côtés des Bretons. En retour, Hasting doit cesser ses pillages"(11).
Mais cette vie sédentaire ne convient pas à tous ces infatigables coureurs des mers. Hasting et une partie de ses hommes quittent bientôt le pays et s'en vont porter leurs ravages ailleurs.
A cette date, le port de Guipry ne connaît sans doute pas encore les drakkars vikings, mais les luttes, qui vont opposer les prétendants à la succession du roi Salomon, vont lui en donner l'occasion. Gurwant, comte de Rennes, et Pascweten, comte de Vannes, se disputent, en effet, le trône de celui qu'ils viennent de faire assassiner, tandis que les Vikings profitent de ces discordes bretonnes "pour incendier les cités, les châteaux, les églises, les monastères, les maisons, pour ravager le pays et en faire un désert" (12).
En 875, Pascweten recrute une forte armée - plus de trente mille hommes, dit-on - dans laquelle il enrôle des Vikings de la bande d'Hastings et marche sur Rennes, la capitale de Gurwant.
Bien que très inférieurs en nombre, les soldats de ce dernier, galvanisés par le courage de leur chef, bousculent l'armée de Pascweten aux portes de la ville et lui infligent des pertes importantes. Serrés de près, quelques groupes vikings se réfugient dans l'abbaye Saint-Melaine et s'y barricadent suivant leur tactique habituelle. Puis, au cours de la nuit, ils s'en échappent et regagnent leurs barques au mouillage dans la Vilaine, à quelque distance de la ville (13). Ils emportent avec eux le butin qu'ils ont amassé, entre autres les cloches de l'église, si l'on en croit la légende racontée encore de nos jours dans la région de Massérac.
Le lac de Murin abriterait l'épave d'un drakkar qui aurait disparu dans ses eaux lors du retour de cette expédition. Certains soirs on entend le tintement d'une cloche au fond du lac. Cette cloche, dérobée à l'abbaye Saint Melaine de Rennes, aurait sombré en même temps que le drakkar surchargé qui la transportait. Les Vikings ont donc bien remonté et descendu la Vilaine lors du raid de Pascweten contre la capitale de Gurwant. Les habitants du Port de GuipryMessac ont peut-être même eu à en souffrir.
Pendant plus d'un siècle ces invasions successives des Vikings déferlent sur la Bretagne, dont les responsables réagissent selon les circonstances. Tantôt ils composent avec leurs assaillants, tantôt ils les repoussent. Seul, Alain le Grand réussit à imposer sa loi aux envahisseurs, mais à sa mort, en 907, les querelles nées autour de sa succession permettent aux Vikings de se ressaisir. Ils vont dominer à leur tour le pays pendant tout le premier tiers du XI siècle, obligeant même les élites bretonnes (comtes, machtiems, moines) à quitter le pays. Il faut attendre le retour d'Alain Barbetorte en 936 pour les contrer et les faire abandonner définitivement le pays breton.
Cependant ils n'ont pas sillonné notre pays pendant aussi longtemps sans y laisser leurs empreintes. Il ne s'agit pas ici de parler de la Tour d'Hasting de Tréguier, ou de la fondation de la Roche-Bernard ou de Châteaugiron, mais la référence à la toponymie locale nous incite à penser que certains hameaux de la région ont été, semble-t-il, des fiefs scandinaves. Ainsi, à Saint-Ganton, nous trouvons le village de la"Houle", un nom norrois par excellence (14). Quant au village de la Touraudais, dans la même commune, le dieu Thor, dieu favori des Vikings, lui a peut-être donné son identité (15). A Saint-Just, autre commune de notre canton actuel, le village de la Hougrais (de "Haugr", tertre) a sans doute accueilli des Vikings qui lui ont attribué un nom rappelant leur pays d'origine (16).
A Guipry, que représente "Trécesson" (en breton "hameau des Saxons"), ce village aujourd'hui disparu, situé à l'extrême nord de la commune, en limite de Guignen? Les Bretons ont souvent confondu Vikings et Saxons (17 ). Faut-il en conclure que ce Trécesson était un fief viking? Le pas est aisé à franchir. Mais ce n'est là qu'une hypothèse plausible.
En juin 1101, une grandiose cérémonie religieuse se déroule à l'église Saint-Sauveur de Lohéac. Gauthier, seigneur du lieu, dépose dans ce sanctuaire un morceau de la vraie croix du Christ et un fragment de son tombeau. Ces pieuses reliques ont été rapportées des Croisades par Simon de Ludron (Lieuron ?), le fidèle écuyer de son frère Riou, à qui ce dernier avait confié ce précieux fardeau avant de mourir. De nombreuses personnalités sont présentes ce jour-là, dont Judicaël, évêque d'Aleth (Saint-Malo), Justin, abbé de Redon, et aussi Gonnor, veuve de Riou, et son fils Geffroy (18).
Gonnor ? Comme le laisse supposer ce nom, Riou a épousé une femme d'origine scandinave (19). Il est sans doute allé la chercher en dehors de la Bretagne. Mais peut-être aussi a-t-il obtenu la main de la fille d'un seigneur de son entourage, ce qui accréditerait l'idée que d'anciens Vikings ont fait souche dans notre région.
Il est vrai que les premiers Vikings étaient des barbares. Ils ne pensaient qu'à tuer, voler et piller. Rapidement cependant, ils ont compris qu'il était bien agréable de vivre dans notre beau pays. Et ils ont cherché à s'y établir par tous les moyens. Sans doute aussi n'ont-ils pas connu en Bretagne la même facilité d'installation qu'en Normandie. Ici l'empreinte celte y était trop marquée ; ils ont été obligés de s'en accommoder. Locmaria, île de Groix, été 1906 : une mystérieuse découverte
Le Port-musée se passionne pour une découverte archéologique exceptionnelle et méconnue.
En 1906, les archéologues Paul Du Chatellier et Louis Le Pontois mettent au jour sur l’île de Groix une bien mystérieuse sépulture. Sous un grand tumulus, leurs fouilles révèlent les traces d’une grande barque scandinave datant du Xe siècle, incinérée avec la dépouille d’un chef Viking entouré de nombreux armes et atours. Cette découverte, dont l’écho a largement traversé les frontières dès 1906 mais rarement dépassé les cercles initiés, continue aujourd’hui de susciter études et débats passionnés.
C’est ce contexte archéologique exceptionnel que le Port-musée présente cet été. S’appuyant sur de nombreuses archives et le confrontant à d’autres sites du Ponant découverts récemment ou non, il invite le visiteur dans le monde fascinant de la recherche et du Xe siècle.
Un précieux témoignage de la présence Viking en Bretagne
Pourquoi et comment ce bateau et son passager pour l’au-delà furent-ils incinérés puis inhumés sur l’île de Groix au Xe siècle ? Au fil de sa déambulation, le visiteur décèle les indices. De nombreux objets : épées, boucles, outils trouvés sur le site de Groix et le précieux évangéliaire de Landévennec rédigé par les moines en 909 sont autant de pièces à conviction de la présence Viking en Bretagne. Au cœur de l’exposition, le bateau Ragna, réplique d’une barque scandinave médiévale propose une reconstitution du brasier funéraire originel et introduit la question de l’influence des Scandinaves sur nos traditions maritimes.
Le bateau, véhicule des âmes pour l’au-delà
Se référant à un rite viking bien connu, la tombe de Groix est aussi le prétexte à déambuler dans l’imaginaire et les croyances des peuples marins. À travers la littérature, les arts visuels ou les objets ethnographiques, le visiteur est invité à naviguer dans le monde aérien ou souterrain de l’au-delà des civilisations égyptienne, océanienne ou européenne. Vaste champ universel où se retrouve un trait commun aux peuples navigateurs : la barque de l’au-delà.
Un projet collectif ambitieux et créatif
Afin de faire ressurgir l’histoire oubliée de la tombe viking de l’île de Groix, le Port-musée s’est entouré d’éminents spécialistes du haut Moyen-Âge, et a su mobiliser des collections exceptionnelles prêtées par les établissements prestigieux que sont le musée du quai Branly, le musée du Louvre et le musée d’archéologie nationale de Saint Germain en Laye. Ces objets sont autant de trésors présentés dans une scénographie originale inspirée de l’architecture de l’ ancienne abbaye de Landévennec et mise en ambiance par une création sonore et visuelle originale de Paul Menet.
Je me permet de faire un double post...excuaqer moi
Re: Origines vikings
Vu le texte du dernier message, sans langage SMS qui fait mal aux yeux (je sais je suis un vieux ..., mais je l'assume) je pense qu'il s'agit d'une citation, donc la moindre des choses serait d'en citer les références.
Cordialement,
Lasc en direct de Tokyo
Cordialement,
Lasc en direct de Tokyo
Re: Origines vikings
Joli texte mais il vient d'ou, de qui ?
Ca fait plaisir a lire. Enfin peu de faute de frappe et de mdr a toutes les sauces.
Bon j'arrete la, il n'y a rien de pire qu'un Breton tetu !
Ca fait plaisir a lire. Enfin peu de faute de frappe et de mdr a toutes les sauces.
Bon j'arrete la, il n'y a rien de pire qu'un Breton tetu !
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Re: Origines vikings
Là effectivement je ne peux être que d'accord avec Fenris Mais rassures toi, on est nombreux a être comme moi ! Ne faisons pas une généralité de quelques exceptions...
Les bonnets rouges ne sont plus appréciés en Bretagne depuis un petit moment, ils ont dépassé les limites...
Et pour en revenir au sujet, le mieux est de faire des recherches du côté de ta famille pour savoir si tu as du sang viking. Et évites de déverser "ta haine" contre les français car pour ta gouverne la Bretagne est Française que ça te plaise ou non. Je t'invite à relire la charte du forum.
Mais rassures toi, on est nombreux a être comme moi ! Ne faisons pas une généralité de quelques exceptions... Les bonnets rouges ne sont plus appréciés en Bretagne depuis un petit moment, ils ont dépassé les limites...
Et pour en revenir au sujet, le mieux est de faire des recherches du côté de ta famille pour savoir si tu as du sang viking. Et évites de déverser "ta haine" contre les français car pour ta gouverne la Bretagne est Française que ça te plaise ou non. Je t'invite à relire la charte du forum.
Laëtitia 
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Re: Origines vikings
Merci Laeti.
Je sais bien qu'il y a des gens bien en Bretagne, j'en connais (toi la premiere) et j'ai de la famille labas.
donc pour cloturer la discussion :
- Faire de la genealogie comme nous te l'avons dit avant.
- Faire de l'Histoire, de la vrai, pas du recopiage de Wikipedia (qui peu etre tres bien en soi)
- et surtout, se poser la question : "Pourquoi je veux absoluement savoir si j'ai du sang viking"
Je sais bien qu'il y a des gens bien en Bretagne, j'en connais (toi la premiere) et j'ai de la famille labas.
donc pour cloturer la discussion :
- Faire de la genealogie comme nous te l'avons dit avant.
- Faire de l'Histoire, de la vrai, pas du recopiage de Wikipedia (qui peu etre tres bien en soi)
- et surtout, se poser la question : "Pourquoi je veux absoluement savoir si j'ai du sang viking"
Re: Origines vikings
soit :Fenris a écrit : "Pourquoi je veux absoluement savoir si j'ai du sang viking"
1/ il est un peu trop fan de black metal
2/ il veut prouver qu'il a du sang aryen (j'en connais un comme ça, il est à moitié italien et à moitié... ben français mais il arrive à en conclure qu'il n'a que du sang germanique. si ça lui fait plaisir.)
Re: Origines vikings
Haha, bien vueNayeli a écrit :soit :Fenris a écrit : "Pourquoi je veux absoluement savoir si j'ai du sang viking"
1/ il est un peu trop fan de black metal
2/ il veut prouver qu'il a du sang aryen (j'en connais un comme ça, il est à moitié italien et à moitié... ben français mais il arrive à en conclure qu'il n'a que du sang germanique. si ça lui fait plaisir.)
Tu pourras dire a ton ami Italiano-Francais que si il vient d'Italie du Nord, il a de forte chance d'etre Germain, oui (Les Lombard etaient des Germains), mais qu'etre Aryen ca veut dire etre du meme groupe ethnique que les iraniens, les europeens sens large et une bonne partie des peuples au Sud de la Russie. Donc au niveau blondeur et yeux clairs il faudra repasser.
Apres, peut etre qu'il veut etre un Aryen encore plus aryen que l'Aryen et alors il lui faudra trouver des genes du Gotland
pas facileRe: Origines vikings
je saismais qu'etre Aryen ca veut dire etre du meme groupe ethnique que les iraniens, les europeens sens large et une bonne partie des peuples au Sud de la Russie. Donc au niveau blondeur et yeux clairs il faudra repasser.
Re: Origines vikings
Il n y a pas plus tetu qu un bigouden pur beurre mdrrrr non franchement leq des deux textes sont un résumé de ce que j ai pu trouver je ne cherche pas a trouver du sang viking a tous prix mais on trouve bcp de trace en Bretagne et qu en on parle des bretons certains disent que se sont des vikings;)